Toutes les ordures que nous mangeons

Toutes les ordures que nous mangeons

Toutes les ordures que nous mangeonsCe portail peut paraître exagéré, mais au moins il réveille notre curiosité, pensez à la quantité de produits en boîte, précuits, rafraîchissements, jus, sauces à réchauffer, prêtes à servir, des soupes et concentrés de bouillon (entre autres) du supermarché. En théorie, ce type de repas est apparu comme une réponse aux nécessités et aux conditions de la vie actuelle, dans laquelle il y a peu de temps pour aller faire les courses et cuisiner. Bien que quelques fabricants essayent de suivre les exigences d’un régime sain, d’autres se servent de stratégies des plus douteuses pour nous vendre ce qu’ils annoncent et inclure entre les ingrédients, des quantités excessives de certains éléments, parfois inutiles, et qui ne se reflètent pas sur l’emballage.

Ainsi, le consommateur ne sait pas précisément ce qu’il apporte avec lui à la maison. Ceci, indépendamment d’une fraude qui a pour but le gain, mais en plus de cela un autre risque pour la santé, spécialement pour les personnes (qui allaitent, cardiaques, hypertendus, diabétiques et jeunes) qui doivent veiller au maximum à ce qu’ils mangent.

Pour cette raison, Pierre Menetton conseille de réduire de 30% la quantité de sodium dans les aliments préfabriqués dans le but d’éviter un bon nombre de risques, mais aussi pour améliorer la santé générale de la population.

Dans le magazine « Le Point », une publication française, qui faisait connaître les découvertes de ce chercheur et mettait en évidence les intérêts économiques en rapport avec le sujet.

Ceci n’est qu’un échantillon d’une immense affaire qui s’est faite autour des aliments traités. Le « The New York Times » publiait une entrevue avec le docteur Marion Nestlé, chef du département de Nutrition de l’Université de New York, dans laquelle le spécialiste dénonce les dangers d’abus des repas rapides et le jeu sale qu’emploient les fabricants pour augmenter leurs ventes.

Les rations en produits traités ont augmenté en volume, et sont très caloriques et peu nutritives, ils ont proliféré et les promotions offrent plusieurs produits de ce type ou les fabricants mettent dans le même paquet (boisson, dessert, gourmandise, jouets…).

Femmes travaillant à l’extérieur, famille nombreuse… tous ces facteurs sont des obstacles clairs pour penser aux menus sains et équilibrés, ainsi que pour faire l’achat de produits frais et les cuisiner en maison.

Les experts ne veulent pas dénommer ce type de repas. En fait, ils admettent que beaucoup de fabricants font des expériences afin de maintenir les produits en bon état pour la consommation. Dans ces cas, elle n’existe aucune raison pour ne pas les prendre de temps à autre, puisqu’ils apportent de la variété et de l’équilibre à l’alimentation.

Fraude et risque

Des études ont permis de déceler des fraudes concernant les jus d’oranges

Seulement un des dix jus analyses reflétait des valeurs qui permettaient de le situer dans la catégorie annonce au préalable sur l’étiquetage. « La présence d’eau en grandes proportions et d’acide tartrique, qui n’est pas de l’orange, il nous a permis de détecter la dilution avec de l’eau ou un mélange d’autres jus de fruits, comme le raisin, plus doux et bon marché « .

Ceci ne suppose pas un risque grave pour la santé, mais il est certain que payer quelque chose qui en fait ne l’est pas. En réalité il s’agit d’augmentera contenance par litre de boisson. Toutefois, il ne convient pas d’oublier que pour les personnes diabétiques, ceci, a un effet peut être problématique. Le jus de raisin contient plus de sucres et, par conséquent, le patient ingère une grande quantité de l’édulcorant sans le savoir.

On publie périodiquement des analyses comparatives pour déterminer les produits dans lesquels on révèle énormément d’insuffisances dans ce secteur. Bien que la majorité ne revêtent pas un danger grave pour la santé, mais ce qui est certain c’est qu’ils constituent une forme de tromperie.

En consultant ces documents, on peut remarquer que, par exemple, l’hygiène générale des salades empaquetées devra s’améliorer, puisqu’ils contiennent généralement des micro-organismes (List Erie, presque toujours) qui prolifèrent par mauvaise manipulation. Pour sa part, la tomate frite et la sauce de ketchup ne contiennent généralement plus d’additifs que le nécessaire ; quelques marques contiennent du glutamate (un potentiel de la saveur), mais qui ne l’indiquent pas sur l’étiquette.

Les gâteaux utilisent généralement des additifs inutiles et un sur deux contient expressément le BHA antioxydant (E320) interdit par la législation des gâteaux secs.

Définitivement, l’étiquetage est la matière en suspens. Parfois on peine de donner peu d’information (omettre des ingrédients et des quantités). Par exemple, ils ne clarifient pas le type de lipides incluant les « matières grasses ». Beaucoup utilisent certains terminaisons incompréhensibles pour le consommateur.

Par exemple, il est fréquent que le glutamate ou le bicarbonate, figurent sans le nom de famille sodique, de sorte qu’on ne pense pas qu’il s’agit réellement de sel.

Egalement pour les sucres sans comprendre leur groupe. Un tour pour les identifier, ils portent le suffixe « ose » (galactose, fructose, lactose, maltose…) ou ceux qui finissent en « sol » (xjilitol, sorbitol… .).

En résumé, on nuit au droit du consommateur, celui de savoir ce qu’il mange. Au moindre doute, le meilleur est de ne pas les acquérir.

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